Spécificités des AMAP

Quelle est la spécificité des AMAP par rapport à d’autres formules de « panier bio » que vous pouvez retrouver un peu partout? Les AMAP créent un lien direct et des engagements réciproques entre adhérent et le paysan, détaillés dans les contrats :

1. Pré-financement de la production : nous achetons par avance une part de récolte qui nous est livrée chaque semaine. Son prix est fixé par l’association et le paysan en fonction des coûts de production de la ferme et non pas selon les prix du marché. L’achat à l’avance garantit un revenu décent au paysan et permet l’autonomie des fermes.

2. Solidarité vis à vis les aléas naturels climatique et biologique. L’agriculteur fixe le contenu des parts de récolte en fonction de l’avancée des cultures. La quantité de légumes peut varier un peu : si la saison est bonne, il y en a pléthore, parfois il y en a moins. En cas de situation exceptionnelle, une réunion entre les adhérents et l’agriculteur est organisée pour envisager les meilleures solutions.

Il n’y a pas d’exigence de calibrage ni de normes esthétiques: bienvenue à tous les légumes !

3. Implication dans la gestion du groupe : les adhérents assurent, à tour de rôle, l’organisation des distributions. Ils participent à la vie de l’association, en intégrant l’un des cercles de l’AMAP ( accueil, relation avec les producteurs, communication …) Au moins une fois par an, une réunion de bilan est effectuée pour définir les améliorations à apporter à l’association.

Produire bio, local, solidaire et sans intermédiaire

Le principe de l’AMAP, Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne, est de rapprocher un producteur local et un groupe de « consom’acteurs ». Les objectifs sont multiples :

  • soutenir les producteurs locaux (emplois locaux) aux portes de nos villes. Réduire les transports, supprimer les emballages. Promouvoir un modèle économique performant, social et solidaire. Le prix des parts de récolte doit permettre au producteur de couvrir ses frais, de dégager un revenu décent, tout en restant abordable pour les adhérents.

  • supprimer les intermédiaires entre producteurs et consommateurs. Les intermédiaires coûtent cher et bebe2nous font perdre  de vue les réalités du monde agricole qui nous nourrit. L’argent ne transite pas par la structure associative.
  • freiner le bétonnage des terres agricoles en particulier autour des villes et favoriser l’installation de nouveaux paysans bio.
  • améliorer notre nourriture : les produits sont bio, frais, de saison, ni réfrigérés, ni emballés. Encourager l’emploi de semences paysannes et retrouver des variétés anciennes et de terroir.
  • découvrir ou re-découvrir le contact avec la terre,  en apportant ponctuellement une aide dans les champs au désherbage, aux récoltes ;  cela permet de profiter du bon air et c’est très pédagogique pour les petits et même pour les grands.
  • rapprocher mangeurs et paysans par la transparence technique et économique. Expliquer aux adhérents ses méthodes de travail et la manière dont le prix de la part de récolte est fixé, donner des informations régulières sur l’avancée des cultures.

Du lien direct, de l’éducation au goût et à l’environnement, de la convivialité, des animations pour faciliter les échanges entre adhérents, et avec les paysans partenaires, voilà ce que vous trouverez dans les AMAP.

Pour une agriculture paysanne et citoyenne

Le réseau AMAP Ile-de-France, pour favoriser l’appropriation des enjeux agricoles et alimentaires par tous les amapien·ne·s organise avec Terre de liens des formations gratuites pour tous les adhérents. Voici le résumé de l’une d’elles.

Agriculture conventionnelle, biologique, paysanne, comment s’y retrouver ?

par Jacques Caplat, agronome

L’agriculture conventionnelle

L’agriculture conventionnelle est un modèle, actuellement dominant, qui fait «convention ». Il est né dans les plaines du Moyen-Orient il y a 4000 ans et s’est adapté dans les vastes plaines d’Europe et d’Amérique du nord, au climat tempéré assez régulier. Il se caractérise par une  » culture pure  »  ( sans association ) de variétés standardisées dans un grand espace qui se prête assez bien à la culture intensive des céréales et à la mécanisation. C’est après la Seconde Guerre Mondiale qu’une super-structure agro-industrio-chimique, voulue par les industriels et les gouvernements pour nourrir l’Europe dévastée, s’est mise en place en Europe : les variétés sont sélectionnées en laboratoire sur le critère de leur rendement ( et non des autres critères : qualité, adaptation au climat, besoin en eau, résistance aux maladies …) et inscrites dans un catalogue officiel garantissant les qualités vantées … et les profits des semenciers industriels. Ces variétés ne sont rentables que plantées dans des sols qui ressemblent à ceux des laboratoires : il faut donc adapter le sol aux plantes avec des engrais spécifiques, arroser abondamment et comme les plantes sont fragiles, il faut les protéger avec des pesticides contre les insectes, les micro-champignons et les bactéries qui se trouvent naturellement dans les champs et les bois.

Et les humains dans tout ça ? Les paysans sont devenus des « exploitants agricoles » des sous-traitants de l’industrie agro-alimentaire, premières victimes, parfois consentantes de ce système. Ils sont dépendants d’un système bancaire qui les pousse à s’endetter et des subventions européennes, soumis aux aléas des spéculations mondiales sur les produits agricoles, enfermés dans un mode de production qu’on leur présente comme  » sans alternative », souvent victimes des pesticides qu’ils utilisent. Les consommateurs ont des choix alimentaires limités par les grandes multinationales agro-alimentaires et la grande distribution, ils subissent la pollution de l’air et des eaux, payent les « réparations » ( dénitrification des eaux souterraines, soins des malades…).

Les limites de l’agriculture conventionnelle sont passées sous silence: elle est en échec dans ses applications dans les milieux instables, non tempérés, aux sols fragiles, donc dans les trois quarts de la planète; elle est responsable de 11 à 15% du total des émissions des gaz à effet de serre produits dans le monde (de 44 % à 57% pour le système alimentaire industriel); elle est responsable de la destruction des sols et de la perte d’autonomie du monde paysan menant aux tragédies que l’on connait (suicide des paysans en Inde, en Europe…)

Ce modèle agricole conventionnel est désormais dans l’impasse, il est obsolète et dangereux pour les équilibres humains et écologiques. Le contexte a changé avec le réchauffement climatique, les modifications sociales, économiques et scientifiques de ces dernières décennies. Les crises sanitaires se multiplient.

Il est temps de changer d’agriculture !

L’agriculture biologique

 

L’agriculture biologique a des pères fondateurs qui ont posé les bases d’un mouvement et mené des expérimentations locales: Steiner (1924), Pfeiffer (1938), Howard, Hans et Maria Müller, Fufuoka, Mollison et Homgren … Vers 1972, des paysans et des usagers se regroupent et rédigent le premier cahier des charges qui aboutira à la création en France de la Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNAB). Plusieurs marques et labels plus ou moins exigeants apparaissent. En 2007, une charte et un logo européen sont créés, moins précis, par exemple, que le label Demeter de l’agriculture biodynamique, le plus exigeant.

La démarche systémique de l’agriculture biologique est moderne, savante et diversifiée. Il s’agit de constituer un « organisme agricole » reliant l’écosystème (sol, arbres, murets, mares, haies …) à l’agrosystème (plantes et animaux mis en place par le paysan) et à la société humaine alentour.

Quelques principes de base :

  • le sol est un milieu vivant dont il faut prendre soin, il vaut mieux travailler avec lui que contre lui (compost, labour de surface, vie bactérienne…). Le renouvellement de la fertilité du sol par l’apport d’azote, de phosphore et de potassium est effectué par les plantes
  • la photosynthèse permet aux plantes de grandir, il faut donc l’optimiser en ne laissant aucune surface de sol nu entre les rangs plantés
  • les cultures associées sont la clé du rendement ainsi que la complémentarité culture-élevage
  • la protection sanitaire mutuelle des cultures et le respect des animaux auxiliaires, la valorisation des arbres
  • une gestion responsable des ressources non renouvelables : un sol vivant abrite une mycorhize, véritable réseau qui pompe l’eau profonde et absorbe les minéraux de la roche-mère et les font remonter
  • l’utilisation de semences paysannes et des variétés adaptées au milieu et évolutives. De plus, elle valorise la main-d’œuvre et reconnait les savoirs paysans, permet de renouer les liens avec la société et rend aux paysans la maitrise de l’économie agricole.

L’agriculture biologique est-elle performante pour nourrir l’humanité ?

OUI. Croire  que seule l’agriculture conventionnelle peut nourrir la planète est un mythe dangereux basé sur des erreurs agronomiques, des idées reçues, une inertie économique favorable aux multinationales … et les intérêts financiers de certains (que dire quand les présidents de la FNSEA, principal syndicat agricole, sont aussi présidents du conseil d’administration du groupe agro-chimico-industriel international AVRIL !!!)
Des agronomes et de nombreuses études ont démontré que l’agriculture biologique peut nourrir sans difficulté 9 à 12 milliards d’humains sans qu’il soit nécessaire de défricher un seul hectare supplémentaire. Une autre agriculture est possible et souhaitable.

 

Tout n’est pas parfait dans l’agriculture biologique.
Le bio intensif en monoculture, le bio qui vient de loin voire du bout de la planète, le bio qui pousse sous serre chauffée, le pseudo bio hors-sol ou sur substrat, les produits récoltés avant leur maturité ne respectent pas les bases agronomiques de l’agriculture biologique et/ou ne sont pas écologiques (coût écologique du transport et de l’énergie dépensée).
Et l’agriculture raisonnée dans tout ça ?
Supercherie ! Le principe est de moins polluer pour polluer plus longtemps. Le système engrais/semences ou plantes fragiles/pesticide n’est pas remis en question.
Plus d’info sur le site de la FNAB: http://www.fnab.org

L’agriculture paysanne

Suffit-il de produire et de manger bio pour être quitte avec la qualité de vie des paysans, dans des filières agricoles et commerciales verticales qui pressurent le travail des agriculteurs ? Suffit-il de supprimer la chimie dans les champs pour avoir une agriculture durable ?

 L’agriculture paysanne est une approche de l’agriculture développée par les paysan·ne·s de la Confédération paysanne et de la FADEAR pour permettre à des paysan·ne·s, nombreux, de vivre de leur métier de façon durable et de produire pour nourrir leurs concitoyens. L’agriculture paysanne s’organise autour de 6 thèmes interdépendants : l’autonomie, la répartition, le travail avec la nature, le développement local, la qualité, la transmissibilité.

FADEAR : Fédération des Associations pour l’Emploi Agricole et Rural

Développer l’AUTONOMIE des fermes, c’est :

  • rester maître des décisions à prendre sur sa ferme
  • limiter les achats en semences et en aliments pour les animaux, préférer les produire soi même et valoriser les ressources locales
  • limiter la dépendance aux énergies fossiles dont le prix ne fait que monter et qui pollue
  • maîtriser son endettement et sa dépendance aux aides

RÉPARTIR équitablement les volumes de production, c’est :

  • dégager un revenu suffisant sur une surface et des tailles d’ateliers raisonnables pour permettre à d’autres paysans de travailler
  • mieux valoriser ses produits
  • améliorer sa marge nette par unité produite en limitant la capitalisation, en réduisant ses intrants etc

Le travail avec la nature est essentiel, la NATURE est le principal capital des paysan·ne·s, il faut travailler avec elle et non contre elle :

  • maintenir la fertilité des sols sur le long terme
  • privilégier la biodiversité domestique et la mixité des productions
  • préserver les ressources naturelles et les partager de manière équitable

Le·la paysan·ne est un·e ACTEUR·TRICE LOCAL·E dynamique, il·elle doit :

  • entrer dans un réseau local de partage agricole
  • ouvrir sa ferme régulièrement au public
  • s’investir dans la vie citoyenne

Développer la QUALITÉ et le GOUT des productions agricoles, c’est :

  • produire de façon transparente pour le consommateur
  • respecter les cycles naturels et le bien-être animal
  • apprécier sa propre production pour mieux la vendre
  • choisir un label qui nous correspond

Permettre aux paysan·ne·s de TRANSMETTRE leurs fermes aux nouvelles générations, c’est :

  • limiter les agrandissements et les investissements qui seraient trop lourds pour que la ferme soit reprise
  • sécuriser son foncier
  • intégrer son temps de travail dans le coût de production pour assurer la viabilité de la ferme et ne pas décourager des volontés d’installation
  • rendre la ferme agréable à vivre et s’inscrire dans un réseau de solidarités.

Alors faites connaitre autour de vous le système des AMAP, des vraies AMAP qui respectent l’esprit de la Charte des AMAP.

Plus d’info sur le site des FADEAR: http://www.agriculturepaysanne.org

Les consommateurs mangeurs que nous sommes, par le choix de ce que nous mettons dans nos assiettes, nous avons un grand rôle à jouer, nous avons le pouvoir :

  • d’orienter l’agriculture vers l’agroécologie en favorisant les produits bio, en vente directe, locaux et de saison, les filières éthiques …
  • de généraliser ce modèle pour offrir à de nombreux jeunes ou moins jeunes la possibilité de s’installer en bio avec la garantie que leurs produits arrivent dans des assiettes locales à un juste prix

Nous, amapiens et amapiennes, devenons des consommateur·trice·s citoyen·ne·s ! Aidons à généraliser le système des AMAP, faisons connaitre autour de nous ses principes pour aider au développement de l’agriculture paysanne.

 Sources:
– Formation du Réseau AMAP Ile-de-France et Terres de lien, animée par Jacques Caplat, agronome.
Changeons d’agriculture – réussir la transition  de Jacques Caplat Edition Actes Sud.

🍞 Le pain bis, de petit épeautre …

Olivier Lavielle

Fournil Le pain commun (91)

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Olivier, suite à une reconversion professionnelle, a une formation de paysan-boulanger. Il a créé le Fournil Le Pain Commun au sein de la Ferme de la Basse-Cour à Gommervile (28) en 2017 et au moment du changement de propriétaire de la ferme, il a dû déménager. Il est maintenant dans une ancienne boulangerie qu’il a restaurée à Châlo-Saint-Mars, dans l’Essonne. 
Ses pains sont réalisés à partir de produits locaux issus de l’agriculture biologique. Les farines de blé, grand épeautre et petit épeautre utilisées sont réalisées par la ferme La Petite Beauceronne (Trancrainville, Eure-et-Loir), située à 30 km de la boulangerie. Elle est obtenue en utilisant un moulin à meules de pierre de type Astrié ce qui garantit une meilleure qualité nutritive. Cela représente environ 80% des farines utilisées. Les autres farines (seigle, sarrasin), proviennent de la coopérative BIOCER. Tous les pains sont panifiés exclusivement sur levain naturel, sans adjonction de levure. Cette méthode de fermentation apporte aux pains une grande richesse aromatique, une excellente conservation (jusqu’à 1 semaine) et une bonne digestibilité.

Pour visiter son site internet: www.lepaincommun.fr

Ses pains

  Pain aux graines de lin : farine demi-complète de blé sur levain naturel de petit épeautre, avec graines de lin (riches en Omega 3).

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Tous les pains se conservent une semaine enveloppés dans un linge et à l’abri des courants d’air (idéalement boite à pain ou placard en bois).
Ils se congèlent bien (prévoir une journée de décongélation pour un pain entier, ou alors congeler en tranches) sauf le « courge et miel » dont la mie est onctueuse.

Liste et compositions des produits proposés pour la saison 2022-2023

Cette liste est évolutive. Les pains saisonniers (ex : le pain aux noix) ou de saison (pain à la courge et au miel, aux poivrons, etc…), les pains de Noël (pains d’épices, etc…), les viennoiseries ou pâtisseries et des nouveaux pains viendront élargir la gamme, temporairement ou durablement. Olivier vous en tiendra informé et prévoira (si possible) des dégustations pour chaque nouveauté.
PRIX UNIQUE : 5,50 €


CAMPAGNE 1kg : Farine demi-complète de blé sur levain naturel de blé, sel de Guérande —> VERSION MOULÉE 1kg : La cuisson en moule amène une mie plus resserrée, intéressante pour les tartines du petit déjeuner, et une croûte plus fine.
CAMPAGNE AUX GRAINES DE LIN 1kg : Farine demi-complète de blé sur levain naturel de blé, avec 10% graines de lin (riches en Omega 3), sel de Guérande
—> VERSION MOULÉE
PAIN DE PETIT ÉPEAUTRE 700g : Farine demi-complète de petit épeautre sur levain naturel de petit épeautre, sel de Guérande. Son gluten tendre peut convenir aux intolérants.
BOULE AU SARRASIN, GRAINES DE MILLET, FLOCONS D’AVOINE 500g : Farine de blé blanche 80%, farine de sarrasin T130 20%, graines de millet, flocons d’avoine, sel de Guérande, sur levain naturel de blé.
CAMPAGNE AUX GRAINES DE CHANVRE ET MIEL DE CHÂTAIGNIER 500g : Farine de blé blanche 85%, farine de seigle complète 15%, graines de chanvre, miel de châtaigne, sel de Guérande, sur levain naturel de blé.
PAIN AUX 6 GRAINES 600g : Farine de blé T80, farine de seigle T170, graines de tournesol, de lin brun, de lin doré, de courge, flocons d’avoine, sel de Guérande, sur levain naturel de blé.
PAIN COMPLET 500g : Farine complète de blé sur levain naturel de son de blé, sel de Guérande.
PAIN MÉTEIL 500g : Farine de blé blanche 50%, farine de seigle complète 50%, sel de Guérande, sur levain naturel de blé.
RUGBROT 450g : Farine de blé seigle T170, graines de tournesol, de lin brun, porridge de grains de seigle, levain naturel de seigle, sel de Guérande
PAIN AUX NOIX 500g : Farine de riz complète, farine de sarrasin, mélange de graines (pavot, sésame, lin doré, tournesol), sel de Guérande, sur levain naturel de riz.
BOULE AUX GRAINES DE PAVOT 500g : Farine de blé T65, graines de pavot (sur et dans le pain), sel de Guérande, sur levain naturel de blé.
PAIN DE RIZ AUX GRAINES (sans gluten) 450g : Farine de riz complète, farine de sarrasin, mélange de graines (pavot, sésame, lin doré, tournesol), sel de Guérande, sur levain naturel de riz.
PAIN RAISINS NOISETTES 500g : Farine de blé T65, raisins sultanines, noisettes torréfiées, sel de Guérande, sur levain naturel de blé.
PAIN DE MIE 500g : Farine de blé type 65, lait entier, sucre de canne, beurre, sel de Guérande, sur levain naturel de blé et levure
BRIOCHES : nature, sucre, pépites de chocolat, raisins 500g : Farine blanche de blé sur levain naturel, sel de Guérande, œufs, sucre de canne roux non raffiné, et beurre.

Dans le quartier : l’AMAP Élément Terre

Quelques places pour la nouvelle saison maraîchère 2023/2024 sont disponibles dans notre AMAP.

Venez nous rencontrer lors des prochaines réunions d’accueil qui auront lieu

les mardis 19 et 26 septembre à 19h30

au Foyer de Grenelle 17 rue de l’Avre Paris 15è Métro la Motte-Picquet

vous pourrez avoir tous les renseignements sur notre AMAP.

Notre association appartient au mouvement des AMAP, elle est adhérente au Réseau Ile-de-France qui participe lui-même au MIRAMAP (Mouvement Inter-régional des AMAP).

Nous avons souhaité faire une association conviviale, où tout le monde s’implique un peu, au fonctionnement horizontale.

Nous l’avons organisée selon les principes de la gouvernance partagée: toutes les tâches sont réparties dans différents cercles qui sont coordonnés par un « cercle coeur ». Dans une ambiance conviviale et de bienveillance, chaque adhérent·e met la main à la pâte. Chacun·e est intégré·e dans le cercle de son choix (relation avec les producteurs, accueil, administration et finance, communication, distribution…) où on s’implique selon les disponibilités et compétences de chacun. Tout le monde a sa place.

Les livraisons du mardi sont des moments conviviaux de partage et de papotages entre nous et avec les paysans.

Les contrats avec nos producteurs débutent à des dates diverses et ont des durées différentes.

Nos contrats et commandes pour la saison  2023-2024:

  • Le contrat maraîcher de Mélanie et Fabien
  • Le contrat oeufs et poulets de Cindy et Nathan
  • Les pains et les brioches d’Olivier
  • Les PPAM et miel de Sylvie et Florent
  • Les huiles et les lentilles d’Antoine
  • Les champignons de Sandrine et Bruno
  • Et bientôt : Les fromages de brebis d’Agnès et Frédéric

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Lieux et horaires de distribution

Notre lieu de livraison est le Foyer de Grenelle, 17 rue de l’Avre dans le 15e, près du métro La Motte-Picquet Grenelle. Les livraisons de nos producteurs s’y déroulent le mardi soir de 19h30 à 20h30.

Si vous souhaitez nous rencontrer, nous vous accueillerons et répondrons à toutes vos questions lors des réunions d’accueil.

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